Hélène MORIN | Nos formatrices
Convaincue par une remise en question constante et nécessaire de nos savoirs, savoir-faire et savoirs-être dans nos accompagnements des familles en devenir, je propose, entre autres, dans ma pratique de sage-femme libérale, un regard centré sur les compétences des femmes et leurs petits dans le processus de mise au monde.
Dix années d’expérience à domicile enrichies d’un compagnonnage auprès d’une des pionnières de la physiologie de l’accouchement, m’emmènent aujourd’hui à m’engager à mon tour pour partager cette transmission avec passion.
J’ai eu la chance d’affiner mes sens cliniques, mon écoute, ma posture, ma communication, etc. avec Jacqueline à mes côtés. Et j’ai l’honneur maintenant de continuer ce chemin qu’elle a initié avec patience, détermination et optimisme. A toutes ses observations s’intégreront forcément ma « patte » et ma personnalité dans le contexte obstétrical actuel.
Je reste avant tout une sage-femme de « terrain », avec une certaine exigence de nos limites professionnelles. Et de manière concomitante, il m’est indispensable de faire voyager, véhiculer ce que j’ai reçu, compris, désappris puis réappris autrement surtout auprès des femmes, dans un souci de complémentarité de la pensée dominante. J’ai donc envie de réfléchir avec le monde de la périnatalité sur ces temps dit de « formation ».
Dix années d’expérience à domicile enrichies d’un compagnonnage auprès d’une des pionnières de la physiologie de l’accouchement, m’emmènent aujourd’hui à m’engager à mon tour pour partager cette transmission avec passion.
J’ai eu la chance d’affiner mes sens cliniques, mon écoute, ma posture, ma communication, etc. avec Jacqueline à mes côtés. Et j’ai l’honneur maintenant de continuer ce chemin qu’elle a initié avec patience, détermination et optimisme. A toutes ses observations s’intégreront forcément ma « patte » et ma personnalité dans le contexte obstétrical actuel.
Je reste avant tout une sage-femme de « terrain », avec une certaine exigence de nos limites professionnelles. Et de manière concomitante, il m’est indispensable de faire voyager, véhiculer ce que j’ai reçu, compris, désappris puis réappris autrement surtout auprès des femmes, dans un souci de complémentarité de la pensée dominante. J’ai donc envie de réfléchir avec le monde de la périnatalité sur ces temps dit de « formation ».