L'ANSFL a reçu de nombreux mails évoquant une discrimination envers les sages-femmes libérales à qui on délivre peu de masques de protection.
En effet, les sages-femmes avaient été "omises"dans l’arrêté paru le 17 mars ; les représentants de la profession se sont mobilisés et cet oubli a été réparé par un nouvel arrêté publié dès le lendemain.
Cependant, un courrier de la DGS, datant lui aussi du 18 mars stipule : les sages-femmes n'auront droit qu'à 6 masques chirurgicaux par semaine pour prendre en charge les femmes confirmées COVID-19.
La situation actuelle est difficile pour tous.tes. et il convient de rester solidaires au sein de notre profession comme avec l'ensemble de la population. En situation de pénurie, la distribution se fait prioritairement vers les gens les plus exposés.
L'idéal serait bien évidemment le port continu de masque chirurgical changé toutes les 4 heures (l'objectif étant de protéger les patientes si nous sommes éventuellement porteurs.ses). Les disponibilités actuelles rendent cette consigne inapplicable pour le moment. Que nous disposions de masques ou pas, nous devons réduire au maximum nos contacts directs avec les patientes et ne voir que les urgences et les consultations incontournables. Tout le reste (rééducation, suivi gynécologique annuel) doit être différé. Les autres consultations peuvent se faire par téléphone ou mieux par visioconférence.
(cf liste des solutions numériques de télésanté recensées par le ministère).Enfin, rappelons que toute patiente symptomatique ne doit pas être reçue mais adressée à son médecin généraliste.
L'idéal serait bien évidemment le port continu de masque chirurgical changé toutes les 4 heures (l'objectif étant de protéger les patientes si nous sommes éventuellement porteurs.ses). Les disponibilités actuelles rendent cette consigne inapplicable pour le moment. Que nous disposions de masques ou pas, nous devons réduire au maximum nos contacts directs avec les patientes et ne voir que les urgences et les consultations incontournables. Tout le reste (rééducation, suivi gynécologique annuel) doit être différé. Les autres consultations peuvent se faire par téléphone ou mieux par visioconférence.
(cf liste des solutions numériques de télésanté recensées par le ministère).Enfin, rappelons que toute patiente symptomatique ne doit pas être reçue mais adressée à son médecin généraliste.
