C’est une équipe de choc qui a constitué le comité scientifique responsable de l’organisation de ce nouveau congrès : Anthony Bouvier, Myriam Kheniche, Céline Puill et Viviane Lemaigre Dubreuil. Pari réussi qui a réuni des intervenants internationaux de qualité, pour parler de la naissance d’hier à demain.
Ce sont des professionnels de renom qui se sont assis autour de la table : Jacqueline Lavillonnière, Jean-Paul Renner, Naoli Vinaver, Shaun Walker, Gail Hart, Dominique Leyronnas et bien d’autres encore.
Créé pour mettre l’accent sur les dernières avancées dans le domaine de la naissance et de la parentalité, ce voyage « dans le temps » d’hier à demain nous permet d’observer ce qui accompagne les naissances : croyances et sciences, traditions et évolution... pour en ressortir enrichi et motivé pour continuer à militer pour que les choix des femmes et des familles soient respectés lors de la naissance.
Mention spéciale à Jacqueline Lavillonière qui nous explique encore et encore qu’un travail n’est pas linéaire et qu’il peut comporter des pauses qui ne nuisent ni à la santé de la mère ni à celle de l’enfant (rappel : si vous êtes adhérent.e.s à l’ANSFL vous pouvez visualiser gratuitement sa formation filmée sur notre site). Mention spéciale aussi à la table ronde de fin de journée qui a rassemblé les usagers et acteurs de l’hôpital, des plateaux techniques, des maisons de naissances, et de la naissance à domicile. Encore beaucoup à construire, mais un beau chemin parcouru qui nous laisse présager du meilleur pour l’avenir.
Alors on mettra de côté les nombreux stands commerciaux (l’ANSFL a depuis plusieurs années décidé de faire un Colloque sans labos, choix lié à l’indépendance et l’autonomie que nous défendons pour notre profession ). Saluons bien fort cette belle initiative qui est parvenu à insérer un congrès de sages-femmes au cœur d’un congrès de gynéco. Résultat : de nombreux gynéco-obstétriciens très intéressés par la physiologie sont intervenu et ont contribué à la richesse des échanges.
Alors BRAVO ! Et on l’espère : à l’année prochaine !
